dauphin

Si vous avez raté les infos scientifiques les plus marquantes ou étonnantes, Curieux.live vous offre une séance de rattrapage

 

L’activité sexuelle éloigne la ménopause !

Quand on vous dit que la sexualité a de bonnes vertus… Selon une étude publiée par des scientifiques de l’University College London, avoir des pratiques sexuelles régulières retarde l’arrivée de la ménopause. Petit rappel des cours de biologie : la ménopause intervient chez la femme pour marquer la fin de la possibilité de procréer en arrêtant définitivement l’ovulation. Et ce à des âges très différents selon les personnes : entre 45 et 55 ans. Une période marquée par des bouffées de chaleur, des troubles du sommeil et autres joyeusetés.

Mais alors quel est le lien entre sexe et ménopause ? Pour les chercheurs britanniques, la pratique sexuelle (avec partenaire ou masturbation) encourage le corps à maintenir la possibilité de procréer en lui envoyant le message qu’une grossesse est possible. Pour cela, il faut une activité sexuelle au moins hebdomadaire. Le corps est bien fait.

Dauphins : la pêche au chalut pélagique interdite au large de l’Île de Ré

L’hiver 2019 a dépassé tous les records d’échouages de dauphins sur la côte atlantique. Comme l’expliquait, à Curieux.live, Hélène Peltier, ingénieure de recherche à l’Observatoire Pélagis qui intervient sur les échouages de mammifère marins : « Dans 90 % des cas, la mort résulte de leur capture accidentelle par des engins de pêche utilisés par des pêcheries françaises ou étrangères. Les tempêtes ne font que ramener leurs corps à la côte. »
Cette évidence appuyée par les experts mais longtemps sous-estimée par les décideurs a finalement interpellé les pouvoirs publics. Fin décembre 2019, la préfecture de région Nouvelle-Aquitaine a décidé de ne pas autorisé la pêche au chalut pélagique, qui se déroule habituellement pendant deux mois, sur le plateau de Rochebonne au large de l’Île de Ré.

La voiture volante bientôt dans les… airs

C’était le marqueur habituel des films futuristes des années 1990 : au XXème siècle des voitures volantes zigzaguent entre les gratte-ciels sans fin des mégalopoles. Il aura fallu attendre 2020 pour donner raison aux scénaristes. Le Parisien nous dévoile qu’« une start-up du Rhône peaufine le lancement de Fleasy, contraction de « fly » (voler) et « easy » (facile), un aéronef autonome capable de décoller et d’atterrir n’importe où. »
Fleasy prévoit deux modèles : l’un pour du transport de marchandises (2 personnes et 200 kilos), l’autre pour 5 passagers.
En annonçant la publication du cadre législatif de « circulation » de ces engins volants, l’Agence européenne de la sécurité aérienne se tient prête. Et vous ?

Alexandre Marsat

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