Si vous cavalez quand il pleut pour ne pas finir trempés, vous vous fatiguez peut-être pour rien ! Julien vous explique :

Si on considère notre corps avec une surface horizontale et verticale, si on reste immobile sous la pluie, c’est la surface horizontale qui prend, mais dès lors que l’on se déplace, la surface verticale prend aussi. Et plus on avance vite, plus elle reçoit de gouttes ! Certes, elle y est exposée moins longtemps, mais la quantité d’eau reçue en plus compense le temps passé en moins en dessous. En gros, ça revient au même ! De plus, courir sous la pluie augmente les éclaboussures, donc en pratique, on finit même davantage mouillés. Le plus simple restera toujours de ne pas oublier son parapluie à la maison !

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